j'arrive...... ![]() http://www.youtube.com/watch?v=xwGL5LDb4u8 http://www.youtube.com/watch?v=IoZfGjQGRuI 2 petites vidéo de mayall et clapton ![]()
http://www.youtube.com/watch?v=9l_qwvSQyjA
petit morceau simpa jouer par clapton mais je crois que c'est jeff healey l'auteur pas sur http://www.youtube.com/watch?v=WaaXQ6boLjQ ![]() Bienvenu à toi! paul personne a écrit : Ah, enfin monsieur allmann qui débarque!! y'a des gens qui travaillent ! ![]() ![]() ![]() ![]() Bon amis bluesman, quels sont vos tonalité préfèrer pour vos impros??? En ce moment, j'adore la gamme penta de Si bémol, de Do et de RE! ![]() ![]() ![]() Regarde, ça c'est moi au bout de deux ans de gratte, depuis t'apprends pleins de nouveaux trucs. là, cette impro est horible!! ![]() http://www.dailymotion.com/user/paul_personne/video/x6hwoe_maxou_music J'attends les autres! ![]()
http://www.youtube.com/watch?v=NCKTeRW3OhQ&feature=related
j'espere que sa viendra^^ tu veut de l'horrible regarde sa
pas mal maintenent regarde quelqu'un qui essaye de faire pareil http://www.youtube.com/watch?v=-ElutiKJGGs&feature=related ![]() Un autre grand!! Rory Gallagher est né le 2 mars 1949 dans le village de Ballyshannon, dans le conté de Donegal, en Irlande; mais c'est dans la ville de Cork qu'il a passé son enfance, bercé par le folklore local et les émissions de blues diffusées à la radio. Quand on sait que Rory, tout petit, s'amuse avec son frère à jouer au ukulele, il n'y a plus rien d'étonnant à ce qu'il achète, à l'âge de 8 ans, sa première guitare: une acoustique. A l'aide de manuels de guitare, il apprend en autodidacte à rejouer la musique de ses idoles qui sont déjà nombreuses. Car la musique de Rory focalise sur le jazz, le rock et surtout le blues. Au tableau des idoles, on retrouve ainsi Lonnie Donegan, Muddy Waters, Chuck Berry, mais aussi Leadbelly, Big Bill Broonzy, Eddie Cochran, ou encore Jimmy Reed. Agé seulement de 10 ans, Rory occupe déjà le devant de la scène avec sa guitare, dans les bars locaux, les fêtes à l'école ou tout évènement particulier. La confirmation de son talent ne tardera d'ailleurs pas puisqu'il remporte, deux ans plus tard, un concours de nouveaux talents à Cork. Rory voit ainsi sa photo publiée dans le journal local "Evening Echo". Surtout, avec l'argent gagné, Rory s'achète aussitôt sa première guitare électrique. A tout juste 13 ans, il fonde un premier groupe avant de rejoindre trois ans plus tard le "Fontana Show Band" qui sert de templin aux jeunes artistes en manque de reconnaissance. A cette époque, il achète une guitare d'occasion pour 100£. Il ne sait pas encore jusqu'où elle le mènera... la célèbre Fender Stratocaster 61' Sunburst qu'il ne quittera plus. Adolescent, si Rory est déjà un semi-professionnel, il doit malheureusement encore s'acquitter des journées d'école avant de rejoindre ses copains le soir sur scène dans les environs de Cork. Le jeu local ne dure d'ailleurs qu'un temps car dès 1964, Rory abandonne l'école et part avec son groupe en tournée. Celui-ci pour l'occasion se rebaptise en "The impact" et part jouer dans les différents comtés d'Irlande avant de partir pour la Grande-Bretagne, l'Europe du sud et même jusque dans les casernes alliées d'Allemagne de l'ouest. Rory, en accord avec le bassiste (Norman Damery) et le batteur (Eric Kitteringham) du groupe, décide de réorienter le jeu dans un style rock'n'roll, country et blues. C'est ainsi qu'on retrouve les 3 copains sous le nom de "Taste" dès 1966 dans le "Star Club" à Hambourg. Malheureusement, le public n'est pas encore prêt à entendre un blues aux sonorités rock et Rory essuit les plâtres à l'instar d'un certain Alvin Lee, qui lui aussi joue du blues-rock dans la même ville mais finira par obtenir le succès avec son groupe "Ten Years After" de retour en Angleterre. Rory revient alors au bercail, remanie le groupe mais pas le style musical. Le groupe repart de plus belle en 1968 avec l'arrivée de Richard McCracken, à la basse, et de John Wilson, à la batterie, qui jouait dans les "Them" de Van Morrison. Partis pour réussir, on les considère rapidement, à Londres, comme les concurrents de Cream et c'est en haut de l'affiche qu'ils apparaissent lors de festivals. Leur premier album "Taste" ne fait certes pas effet dans les charts mais offre malgré tout une belle palette de blues allant de l'acoustique Leaving blues au Chicago Blues Sugar Mama jusqu'à plaquer des riffs à la limite du hard-rock, consacrant au passage Rory comme une fine lame de la guitare. Le successeur "On The Boards" (1970) atteindra la 18ème place des charts britanniques et confirme les débuts tout en ajoutant à la palette un soupçon de country et la marque de fabrique de l'artiste: une mélodie jouée unisono entre la voix et la slide guitare, comme sur Eat my words. La même année sort "Isle of Wight Festival", en août; album qui marque le point culminant de la carrière du groupe, car si le concert est réussi sur tous les points et clôt en beauté une tournée en Europe et en Scandinavie, l'ambiance au sein du groupe se dégrade; Rory ayant l'impression d'être le seul à composer et dont les oreilles sifflent de plus en plus... La séparation a finalement lieu en octobre. Rory, las des bruits circulant à son sujet qui le disent fauché et grippe-sou, se retire pour quelques mois. Les deux hommes restants fondent alors avec John Weider et Jim Cregan le groupe de jazz-rock "Stud" qui sortira 3 albums incognito avant de se séparer dans divers groupes... Pendant ce temps-là, Rory se rappelle avoir vu jouer un certain Gerry McAvoy, bassiste de son état, et un certain Wilgar Campbell, batteur, lors d'un concert en plein air à Belfast; tous deux libres... Manque de chance, sa maison de disques Polydor en procès avec "Taste" gèle toute avance d'argent obligeant Rory à s'autofinancer. Maman Monica aide alors son fils qui parvient tout de même à enregistrer à Londres en 1971 son 1er album solo "Rory Gallagher" qui obtient un succès d'estime au Royaume-Uni. Ce succès est rapidement consolidé par un 2ème CD, "Deuce" (71), qui sort après une belle tournée, péniblement effectuée aux States, mais finissant par traverser l'Europe en long et en large. Bizarrement, c'est certainement en Allemagne que Rory réussit le mieux. Et c'est tout décontracté que Rory participe au 1er album solo du producteur britannique Mike Vernon "Bring it back home", rendu célèbre par son label "Blue Horizon" qui produit entre autre les Fleetwood Mac de Peter Green. Rory prend alors conscience qu'il lui faut faire pareil: être capable de reproduire toute l'ambiance d'un concert sur un disque. C'est ainsi que paraît "Live In Europe" en 1972 qui, en plus d'atteindre le Top 10 des charts britanniques, obtiendra un disque de platine et vaudra à Rory le titre de "Musicien de l'année" décerné par le magazine Melody Maker. Cet album donnera par ailleurs l'envie à Rory d'élargir son spectre musical et la composition de son groupe. Le batteur W. Campbell part alors fonder son propre groupe "Terraplane". Il est remplacé par Rod de Ath, qui avec McAvoy, Rory (évidemment!) et bientôt renforcés par l'arrivée du pianiste Lou Martin qui avait joué avec Chuck Berry, forment désormais un quartett qui débute avec l'album "Blueprint". Le style de Rory est de plus en plus limpide, fait de riffs endiablés, de solos inspirés, et de sonorités acoustiques empruntées au style sudiste qui créent un style tendu et varié. Rory peut alors se vanter de faire partie du carré très fermé des grands guitaristes de rock, se faisant même inviter par Muddy Waters ou encore Jerry Lee Lewis lors de leurs "London Sessions". S'ensuivent des tournées marathon à travers l'Europe, mais aussi les USA et l'Australie, pouvant s'échelonner sur 4 mois d'affilée; ce qui n'a rien d'étonnant d'ailleurs quand on sait que cette même année il joue ainsi 6 soirs de suite (19-24/03/1973) au "Toronto Colonia Tavern". Avec un calendrier aussi chargé, il ne reste finalement plus que deux semaines en automne pour enregistrer un nouvel album studio: "Tattoo". 1974 est encore une année marquée par les tournées incessantes. De nombreux bootlegs circulent déjà (Gallagher lui-même les réclamera dans les 90's pour les regrouper dans une "G-Man-Box"), mais un seul album officiel sort: "Irish Tour", qui s'accompagne également d'un film documentaire de 90 minutes. L'artiste y est éblouissant, tant par son blues électrique vif que par ses balades acoustiques influencées par le folk irlandais. Dans les 70's, Rory jouit d'une immense crédibilité et popularité dans son Irlande natale. Alors que l'IRA menace la population locale par des attentats réguliers, Rory joue, indifférent à toute cette terreur, à Dublin comme à Cork, sans peur d'être victime d'un attentat à la bombe, et se faisant d'autant plus aimer par ses fans irlandais. Le 27 Février 1975, l'édition allemande du magazine "Melody Maker" annonce Rory Gallagher comme le nouveau guitariste des Rolling Stones. Même s'il est vrai que Rory participe aux sessions d'enregitrement de l'album "Black and blue", il n'est cependant pas prêt à abandonner son indépendance, même contre une offre fiancièrement alléchante, et le prouve prestement avec "Against the Grain", son 1er album sur le label Chrysalis, qui, même s'il n'atteint pas des sommets de vente, compte parmi les albums préférés de l'artiste. Rory repart ensuite en tournée d'abord en Australie puis se rend au Montreux jazz festival. Pour la sortie de "Calling Card" (1976), il se munit d'un nouveau producteur, Roger Glover, le bassiste de Deep Purple, qui doit l'amener vers de nouvelles performances. Si Rory classe ses albums vers la 30ème place des charts britanniques depuis "Tattoo", ses performances scéniques n'ont en revanche jamais fléchi et encore moins l'été 1977 lorsqu'il participe sur la 1ère chaîne de TV allemande au "ARD-Rockpalast". Alors que Rory travaille à San Francisco à l'enregistrement d'un nouvel album studio, il est mécontent du résultat obtenu après mixage. Pas content du tout, Rory! Du coup, Rod de Ath et Lou Martin font leurs valises! Ted McKenna, l'ancien batteur du "Sensational Alex Harvey Band" rejoint le fidèle McAvoy pour reconstituer le trio originel. Rory emporte alors toutes les bandes et part avec ses copains travailler dans les studios de Dieter Dierck à Cologne. "Photo Finish" (1978), malgré un effectif réduit, sonne plus énergique et varié, et fait même connaître Rory aux USA alors même que le CD ne se classe pas en Grande Bretagne. Cet album sera d'ailleurs le seul à figurer dans les charts américains. Toujours en 78, il est invité à jouer dans sa ville natale de Cork lors du Festival de Macroom et rejoue avec le premier bassiste de Taste, Eric Kitteringham qui joue au sein de "Sunset". Après avoir aidé Mike Batt sur l'album "Tarot Suite", il sort "Top Priority" (1979) qui sonne résolument rock avec des riffs assez lourds. Ce CD a d'ailleurs la particularité de passer quasi inaperçu en Angleterre en même temps qu'il pointe en tête des classements officiels et de radio en Allemagne! Rory continue alors à se donner en concert, accompagnant quelques pointures comme Albert King en 79 sur "Albert Live" avant de remettre ça à son compte avec "Stage Struck" qui malheureusement déçoit en comparaison avec les live précédents. Et puis le vide... 3 ans se passent où Rory n'apparaît plus guère en concert et ce n'est qu'en 1981 qu'on le retrouve en top forme sur "Jinx". A cette occasion, un nouveau batteur rejoint Rory: Brendan O'Neill qui jouait au sein des "Nine Below Zero" et qui remplace ainsi Ted McKenna parti officier dans le "Greg Lake Band" où officie déjà un certain Gary Moore. McKenna jouera par la suite dans le Michael Schenker Group. Mais "Jinx", malgré un bel effort de création, se solde par un échec commercial. En 83, Rory se montre toujours aussi peu et son album tant attendu ne laisse à peine distiller que 3 titres: Failsafe Day, Loanshark Blues et Kickback City. Et tandis que les anciens compagnons de Rory sortent déjà leurs projets solo, Rory se fait extrêmement rare, même en tant qu'invité. Rory subit une grave crise d'identité. Les déprimes s'enchaînent au rythme des pintes de bière et des litres de whisky. Rory qui se décrit comme un "Worshipper" adopte une attitude de plus en plus farouche, se comportant comme un enfant qui refuse d'être une star. Rory apparaît donc de façon sporadique comme invité. En 84, on le retrouve au côté de son idole de jeunesse Chris Barber pour un "Draft That Fratle Rat" et sur l'album solo de Gary Brooker, "Echoes in the night". Toujours, en tant que session-man, il laisse sa marque sur 2 albums du groupe "Box of Frogs" en 84 et 86. En 86, Rory annonce enfin la sortie imminente de l'album "Torch" dont I ain't no saint, le 1er single, est joué live en avant-première. Mais, désespéré, au moment du mixage, de ne pas trouver les bonnes sonorités et la bonne vitesse de jeu, il repousse tout à un an et sauve de justesse ses compositions avec "Defender"; après 5 ans de pause. Rory est déjà très mal; pourtant, lors des rares apparitions scéniques faites à cette période (Espagne; et France avec Memphis Slim), même obèse, la mine bouffie et meurtrie, c'est toujours avec un gros coeur qu'il sait enchanter les oreilles de ses fans, mais le Grand Rory est malheureusement déjà passé. Et ce n'est pas l'ajout de l'harmoniciste Mark Feltham, un ancien de "Nine Below Zero" qui change la donne. Rory, autrefois artisan éclairé et impulsif, est dès lors un perfectionniste indécis et déprimé. Et il faut attendre encore 3 ans pour avoir droit à "Fresh Evidence" (1990) qui montre étonnament un Rory très inspiré qui mélange avec aisance une touche de jazz avec quelques phrasés endurcis de rythm'n'blues, sans oublier l'acoustique à l'instar de Empire State Express. Mais Rory, fini intérieurement à cause d'abus de Guiness et de pillules, est aussi achevé par les médias qui lui préfèrent un Gary Moore plus inventif et moins avare de faire évoluer le blues à sa sauce. Rory se retourne alors sur lui même passant le plus clair de son temps entre son domicile de Chelsea et Dublin. Les pauses se faisant de plus en plus longues, les deux membres restants du groupe partent à leur tour. Le départ de Gerry McAvoy causera le plus de peine à Rory après une vingtaine d'années passées ensemble. Malgré tout, Rory parvient à remonter sur scène en 92, accompagné de Richard Newman (batterie), du multi-instrumentiste Jim Leverton, et de David Levy (basse). Cette année-là, il sort aussi une compilation, "Etched In Blue", qui reprend les meilleures interpretations blues de sa carrière. Pour 1993, il prévoit même d'enregistrer un album studio électrique et un album Unplugged. Tous les textes sont déjà écrits depuis fin 92, pourtant l'enregistrement est sans cesse reporté. Rory prend malgré tout le temps de jouer les invités de son ami Ronnie Drew sur l'album "30 Years A-Greying" en hommage aux "Dubliners". En 94, il aide le jeune groupe de rock irlandais "Energy Orchard" sur 2 titres avant de jouer sur "Strangers on the run" de Samuel Eddy pour finir par un projet lancé par Pete Brown: "The Peter Green Songbook". Rory y fait une belle reprise de Leaving Town Blues des Fleetwood Mac. Rory, dans ses dernières anées profitera aussi de sa notoriété pour lancer de jeunes talents sur scéne, à l'instar de Gwyn Ashton. Malheureusement, fin 94, son état de santé est déjà préoccupant. Usé jusqu'à la corde, il tombe sérieusement malade durant sa tournée en Europe. En avril 95, il subit une transplantation du foie, rongé par l'alcool et les médicaments. Malgré une opération réussie, le système immunitaire rejète le nouveau foie... Le 14 juin 1995, après que son ami Mark Feltham lui ait joué quelque blues à l'harmonica à son chevet, Rory décède au King's College Hospital à Londres, à la suite de complications (pneumonie) après sa greffe. Il a seulement 47 ans. Le 16 juin, il est accompagné une dernière fois par les habitants de Cork lors du cortège funéraire. Rory est enterré le 19 juin au "St. Oliver's Cemetery" de Cork. Gallagher en 30 ans de carrière a su donner à l'Irlande une vraie rock-star qui n'aura jamais eu le succès qu'elle mérite, car Rory aura tout de même vendu plus de 30 millions de disques, donné deux tournées mondiales et 30 tournées américaines attirant des milliers de fans de partout dans le monde. La scène était toute sa vie, la guitare était son amour. Rendons lui ce dernier hommage. Rory jouait du fond du coeur et exprimait ses souffrances grâce à sa guitare, la faisant sonner de façon si naturelle. Pour la petite histoire, une rue porte son nom aujourd'hui à Ris-Orangis, suite à sa dernière tournée en France, en 1995. Rory est bien plus que le type à la chemise à carreaux, au blue-jean et à la Strato usée; Rory représente l'amour du blues et de la guitare sans contrepartie, sans compromission; un exemple. je vous presente a present ca discographie 1971 : Rory Gallagher 1971 : Deuce 1972 : Live in Europe 1973 : Blueprint 1973 : Tattoo 1974 : Irish Tour '74 1975 : Against the Grain 1976 : Calling Card 1978 : Photo-Finish 1979 : Top Priority 1980 : Stage Struck 1982 : Jinx 1987 : Defender 1990 : Fresh Evidence compilation,album post-mortem 1974 : In The Beginning 1975 : Sinner... and Saint 1976 : Take It Easy Baby 1992 : Edged In Blue 1995 : A Blue Day For The Blues 1999 : BBC Sessions 2003 : Wheels Within Wheels 2005 : Big Guns: The Very Best of Rory Gallaher 2006 : Live at Montreux videographie Irish Tour '74 DVD Live At Rockpalast (regroupant 3 concerts donnés pour la télévision allemande) DVD Live at Cork Opera House DVD Live at Montreux un dvd triple est sorti il y a peu de temps regroupant la plus part de c'est bon concert de toute ca carriere cette biographie est un melenge entre celle de wikipedia et celle de ce http://www.unplugged-cafe.org/index.php/Rory_Gallagher
Snooks eaglin !
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