Les autididactes

qui, quoi ?

oui, kikoi?

Bon à mon tour

Perso j'ai appris "sans faire exprès" on va dire. J'habitais à PALAVAS LES FLOTS étant petit, et on passait les nuits sur la plage (je faisais le mur et j'allais trainer avec les touristes ^^)

Beaucoup de feux de camps sur la plage à l'époque on avait encore le droit, beaucoup de guitares donc (folk et classiques, donc j'ai appris quelques accords au fil du temps, des chansons bateau au début genre "no woman no cry", etc, vous voyez l'ambiance, mais sans grande passion, juste par curiosité, dans le feu de l'action, entre deux pétards ^^ la jeunesse quoi

Par la suite, moi qui à l'époque adorait le reggae, et le DUB, j'ai décidé d'acheter une basse dans ce genre (que je branchais sur un peavey bandit acheté 50 francs d'occaz dans la rue a un mec, un ampli guitare donc pour brancher a basse ^^,

Je sais plus la marque mais une basse sans tête, j'avais un ami batteur et un autre huitariste éectrique genre assez bon en solo, en accord, saturé etc, avec gros ampli, tete d'ammpli, pedales à gogo, un passionné quoi, et on délirait à 3 dans le garage du batteur, basse batterie guitare, c'était plusot cool et ca m'a permis de m'amuser un peu. Moi genre dub, le batteur genre rap et le guitariste genre solo de folies ^^, enfin des bons souvenirs. Puis j'ai un peu zappé quand on c'est perdu de vue, j'ai alors pris une guitare

J'ai appris les penta mineures et les penta blues sur la basse, sur 4 cordes, sans meme savoir que c'était des penta, juste au feeling

Puis de fil en aiguille desfois je jouais pas mal, d'autres temps je jouais jamais, j'ai passé pas ma de temps d'ailleurs après a ne pas jouer du tout, par flemme, ou je sais pas. La ca me reprends depuis quelques temps

Voila. Donc pas de prof, tout ce que j'ai appris, soit des potes me l'ont montré ou m'ont mis sur la piste(que se soit sur la plage ou en jouant ensemble, en faisant des boeufs sans prétentions) , soit de par moi même au feeling. Pas de bases de solfège avec lecture de partitions, les croches, les blanches les noires etc, juste moi et ma gratte et le plaisir de jouer malgrès on humble niveau d'éternel débutant ^^


La actuellement j'ai une épiphone les paul standard plus
Une les paul de marque tenson, une folk ibanez pas terrible, elle sonne pas fort, mauvaise résonnance, et une Dobro de marque Orpheum, pas mal

J'ai eu une quitare de marque maison que j'aimais bien aussi, genre holly body genre ES335 (je crois que c ca)

Sinon j'ai eu quelques guitares dont je sais meme pas ce qu'elles sont devenues mais bon ...

j'ai du mal à me situer entre l'autodidacte et les cours qui ne m'ont pas servi à grand chose mais qui m'ont mis le pied à l'étrier beaucoup plus tard pour comprendre un peu de théorie.

petit j'ai eu l'obligation familiale de passer par l'école municipale de musique. pas le choix un an de solfège d'abord puis un an piano et solfège. j'ai détesté et tout foiré.

après quelques années d'abandon de la musique un pote guitariste m'a honteusement menti en me faisant croire que la basse c'était facile. un peu naif j'en ai acheté une avec mes premières payes de vacances.
puis j'ai pris quelques cours avec un guitariste qui m'a montré quelques bases sur l'instrument mais je doit reconnaitre que d'avoir eu une expérience même raté m'a quand même servie pour comprendre les mesures et la base de formation des gammes.

puis commme à l'époque les bassistes étaient assez rares j'ai rapidement joué en groupe ou j'ai appris nettement plus qu'en cours divers.

puis de groupe en groupe avec la pratique et tout on progresse petit à petit et un jour je me suis rendu compte que c'est pas plus mal de comprendre ce que je fait alors je me suis légèrement penché sur la théorie, chose assez utile d'ailleurs pour trouver de nouvelles pistes de travail.

par contre je suis bien conscient que si la théorie explique tout c'est pas ça qui provoque le génie créatif ça facilite mais c'est comme l'orthographe la grammaire et la syntaxe ça fait pas de vous un écrivain de les connaître et surtout ça permet de pas avoir a reinventer l'eau tiède.

je sais pas si il existe une méthode absolue et definitive pour apprendre mais à la base il faut être un peu curieux, bosser par soi même aussi et pas attendre que tout tombe tout cuit.

"je sais pas si il existe une méthode absolue et definitive pour apprendre mais à la base il faut être un peu curieux, bosser par soi même aussi et pas attendre que tout tombe tout cuit" << Denis oui c'est clair

Un peu de feeling et un peu d'oreille, m'ont permis de jouer au début sur des musiques que je mettais en cassettes et je jouais par dessus avec une basse, mis pas des lignes de basse en fait mais plus en "solo guitare fait à la basse en fait ("solo est un bien grand ot et je jouais plus ou moins bien et juste c'est clair, j'avoue que des fois j'avais l'impression que ça sonnait juste mais ça sonnait juste seulement pour moi mais j'aimais et j'ai persévéré lol ^^)

Puis je jouais avec des gens que je rencontrais qui étaient partant pour taper le bœuf à la maison, des délires genre reggae souvent à l'époque ou la on m'a montré un peu ce que je devait faire pour faire une ligne de basse en boucle, facile à faire et qui sonne bien reggae.

Ensuite j'ai rencontré un guitariste, enfin un passionné, on avait le même age on fumait des petard du matin au soir et on jouait ensemble tout le temps, je lui ai montré comment j'"improvisais" sur des chansonss mises en fond et c'est la qu'il m'a dit que je faisais des "pentatoniques", j'apprenais le nom de penta car je savais pas ce que c'était et je le faisais sans avoir de schema, juste au feeling, parceque c'était les cases et les "espaces" que je trouvais qui sonnent bien.

Un jour il m'a présenté un pote à lui qui faisait de la batterie dans un garage au sous sol de son immeuble, et ce batteur nous a dit que ca serait cool si on allait aussi dans son garage jouer avec lui, on a dit OK, et on a fait un petit groupe, le batteur style un peu rap, moi basse style reggae et quelques impro que j'appelais "solo de basse" mais bon qui étaient plutôt des test ^^, et le guitariste lui était bon en tout, surtout en solo qui déchiraient (enfin c'est le souvenir que j'en ai, ça remonte à loin, c'était quand j'avais 18 ans, ya 23 ans ^^)

Et c'est vrai que c'est à cette période que j'ai le plus progressé rapidement (avant, seul, je stagnait dans une recherche sans théorie ou je ne savais pas moi même si ce que je faisais existait ou si j'étais sur des bonnes pistes ou pas ... et avec ce petit groupe (groupe est un grand mot, on a jamais fait de concert devant qui que ce soit, on était juste une batterie une basse et une guitare et on a passé des après midi entière a jouer ensemble c'était des bons moments c'est toujours un excellent souvenir en y repensant (on s'était même enregistré sur une cassette et je l'ai plus, je ne revois plus les 2 autres depuis longtemps, chacun a pris sa route, changé de lieu de vie etc, mais j'aimerais bien par curiosité réécouter cette cassette lol

Ces sympa, de lire ces témoignages, ces parcours plus ou moins atypiques (dont certains ressemblent un peu au mien, d'ailleurs).

J'ai commencé le piano à 6 ans, pour ma part. Affaire de famille : chez nous, on écoute du classique (beaucoup d'Opéra notamment) et il faut apprendre à jouer ou à chanter. Il se trouve que mon père est un excellent pianiste, qui t'enchaîne les sonates de Beethoven comme je jouerais le riff de Smells like teen spirit.
Ca a duré un temps, avec des relations parfois tendues. Pas évident d'apprendre à son enfant avec le cadre très strict qu'impose le piano classique. D'autant qu'il voulait évidemment que je sois meilleur que les autres. Mais ça a duré quelques années quand même, et je me débrouillais pas trop mal. Puis j'ai laissé tomber car je n'y prenais pas de plaisir et j'étais désormais en âge de dire ce que je ne voulais pas.
Peu après, pour le fun, mon père a monté un groupe avec des collègues, et ça m'a beaucoup influencé. C'est là que des disques de rock sont entrés à la maison. Un soir, alors qu'il bossait "Sunny Afternoon" des Kinks, je me suis dit "mais c'est cool, ça !". Je lui au emprunté la cassette pour l'écouter dans ma chambre. Il y avait aussi You really Got Me, A whiter shade of pale, Penny Lane, Rock and Roll Music, quelques trucs d'Eddy Mitchell (Alice et Bye Bye Prêcheur)... Ca m'a plu, tout ça ! Ca ne faisait pas encore partie de mon Monde. Mon père avait beaucoup écouté tout ça étant plus jeune, mais on n'en avait pas de disques à la maison. Les 33 tours, c'était uniquement du classique (énormément), Brassens, Renaud et Barbara.
J'ai ensuite assez rapidement découvert les Stones (nouvelle révélation), puis plein d'autres choses, puis du blues...
Cette musique nouvelle pour moi m'ayant émoustillé et intrigué, mon père m'a emmené voir une répet. Là, je me suis dit "je veux jouer ça, moi aussi !"
A ce moment, la batterie m'a fasciné. Ca faisait plein de boucan, t'étais comme un Dieu derrière tous ces fûts... et puis ça ferait sûrement bien enrager mon père ! Zou, je voulais apprendre la batterie !
Je n'ai pas eu un soutien débordant, mais mon dabe m'a cependant inscrit à l'école de musique, me laissant me débrouiller. Comme j'avais déjà pas mal de bases, j'ai pu être intégré directement en troisième année de solfège, et commencer l'instrument tout de suite. Le hic, c'est qu'on était en appart, et que les batteries électroniques n'étaient pas encore démocratisées. Donc, pour bosser à la maison, j'utilisais une batterie faite maison, avec des gros pots de fromage blanc pour les toms, une lampe de bureau attachée à une étagère par un élastique et reliée via une ficelle à une vieille agrafeuse pour le charley (l'agrafeus faisant office de pédale ), enfin bref, système D.
Au bout d'un an, j'étais au salon en train d'essayer de tirer quelques sons d'une vieille guitare classique qui avait toujours traîné là, et à laquelle il manquait trois cordes. Mon père m'a alors dit "tu sais, dans notre groupe, on a déjà un batteur. Par contre, on n'a plus qu'un guitariste, l'autre ayant été muté. Si jamais tu apprends la guitare ; que tu t'y mets vraiment, tu pourrais venir jouer un peu avec nous.
Il ne fallait pas me le dire deux fois ! On a filé acheter des cordes, que j'ai montées un peu n'importe comment (tiens, je vais bricoler un tuto sur le montage des cordes, d'ailleurs, ça ne sera pas du luxe ! ) m'enfin, y'en avait six et c'&tait accordé ! Je me suis mis à apprendre frénétiquement les accords de base que mon père connaissait. Ceux qu'il ne connaissait pas, on les a retrouvés (pas difficile quand on connaît un peu de solfège et qu'on sait de quoi est composé un accord).
Donc, à ce stade, j'étais plus ou moins autodidacte, effectivement. Il m'en est resté des habitudes un peu étranges : sur la corde de sol, je fais 90% de mes bends vers le bas. Et j'ai un doigté bizarre sur certains accords standards (qui ne le sont plus trop, d'ailleurs) que j'ai retrouvés tout seul : sur le dos majeur, par exemple, je joue la plupart du temps le Do sur la corde de La avec l'auriculaire, et je joue un Sol sur la corde de Mi avec l'annulaire. En définitive, je trouve que ça sonne mieux qu'en laissant le mi grave à vide ; ça fait moins bourdon. Je fais des Ré étranges, aussi (j'inverse les positions du majeur et de l'index).
J'ai commencé à essayer de faire mes premiers solos improvisés sur la classique, et comme JDK34, je me suis vite retrouvé à jouer des pentatoniques sans avoir cherché à le faire. Du coup, pareil, j'ai des "shémas" assez spéciaux, en penta
Très rapidement, vu que je passais mon temps à jouer, j'ai été en mesure de tenir des rythmiques sur la plupart des morceaux que mon père jouait en groupe. On s'entrainait tous les deux, lui au piano et moi à la guitare. Très vite, donc, mes parents m'ont offert une guitare électrique (une Washburn Chicago Series, que j'ai toujours). Mais pas d'ampli : je jouais sur la chaîne Hi-Fi. J'ai rapidement découvert qu'en motant le "niveau d'enregistrement", ça faisait office de gain, et ça saturait violemment. Mon père, horrifié, m'a offert un petit amplis Ross RG10 (très mauvais, mais que j'ai joué pas mal d'années) et j'ai commencé à jouer dans le groupe de mon dabe, d'abord juste pour le fun. Niveau ampli, il y avait ce qu'il fallait sur place : leur guitariste avait des perles (Ampeg, Fender Twin, Vox AC30...). Ils ont commencé à faire les bals, et vers mes 13 balais, j'ai commencé à jouer avec eux dans ce contexte. D'abord sporadiquement, puis de plus en plus régulièrement. Ca m'a beaucoup fait progresser, et le contact de leur gratteux m'a beaucoup apporté.
Voilà, la machine était lancée. Puis il y eut d'autres aventures, mais ici, elles seraient hors-sujet.
Ce que j'ai appris à la guitare, je le tiens le plus souvent des autres musiciens avec qui j'ai joué, boeuffé, échangé...
Mais je ne pense pas que j'aurais pu apprendre seul avec youtube.
Donc, autodidacte dans une certaine mesure, mais pas totalement.
Quant à l'apprentissage de la théorie, si c'était strictement indispensable au piano et à la batterie, ça m'a semblé plus contournable à la guitare. Disons plus exactement que ce c'est rarement la théorie qui me pousse à jouer ce que je joue. Mais ça m'aide aussi malgré tout car ça m'indique par contre très clairement ce que je ne dois pas jouer ! Ca fait gagner du temps, ça évite de tâtonner, ça permet d'écrire des idées, et surtout, ça permet de communiquer ! Donc, je n'encouragerais personne à faire complètement l'impasse dessus.

J'en profite du coup.
Je suis venu á la musique dans les années 1960 quand j'ai entendu les Shadows jouer Apache. J'ai appris les premiers rudiments de la guitare, d'abord à l'école sur un double décimètre en bois puis avec ma première guitare quand j'ai eu mon Certif. Comme je n'étais pas doué pour le solfège et les accords, je me suis vite retrouvé bassiste au sein de la plupart des groupes avec qui je jouais. D'abord sur des vieux poste de radio puis sur des amplis fabriqués maison. Mon départ au service militaire à stoppé net tous mes projets et quand je suis rentré, beaucoup de choses avaient changé. Après une vie professionnelle et familiale bien remplie, la retraite ayant sonné et  je me suis remis à la guitare, cette fois avec 6 cordes, un vrai ampli et un ordinateur afin de progresser et partager mon univers musical. Voilà vous en savez un peu plus sur gutenberg.

moi aussi je fais mes bend vers le bas sur ma corde de sol, et pire, je préfère un sol filé!
Tout jeune, je n'avais aucun doute, le rock c'était l'éclate! les disques chez nous arrivaient trois mois après les US ou l'Angleterre, mais un petit tour sur le Melody Maker ou sur ,e new musical express, quoique difficiles à se procurer, m'avait filé des adresses de revendeurs, là bas, et puis, c'était moins cher que chez nous (16 Francs contre les 24 demandés chez les disquaires, pour un vynile!)Donc j'ai un peu revendu aux potes, malgré mon manque de mise de départ et ça me payait les disques, puis, en regardant les photos des sus dits magazines, je refaisais ce que je voyais! Hendrix ou Clapton ne risquaient pas de se tromper!
Donc mon petit Garen à 12 watts (des lampes!) sonnait fort et saturait comme un grand et moi, vautré devant je faisais des larsens comme un vrai petit Pete Thownshend! Le tout avec des cordes argentines montées sur une petite acoustique pas terrible armée d'un micro Ibanez que j'ai toujours et qui est sur ma 12 cordes.
The chouite at ze prochain nouméro boyzandgirlz.

Vous pouvez m'ajouter à la liste des autodidactes!

Bienvenue au club lol

En même temps vu les tarifs des profs de guitare, je pense qu'on doit être plus à avoir appris seul, ou entre potes qui montrent des trucs qu'ils ont eux même appris de bouche à oreille si on peut dire, que de gens qui ont pris des cours vraiment.

De plus maintenant avec internet, les infos sont plus accessibles encore qu'il y a 20 ans donc c'est d'autant plus possible d'apprendre des accords, des gammes, des techniques et des conseils, enfin l'accès a la pédagogie à portée de clic, même si ça ne remplacera surement pas un vrai prof j'imagine, c'est déjà énorme pour qui s'y intéresse.

Ouais, avec internet on apprend plein de choses, mais ça ne remplace pas un prof (un bon prof).
Pour les autodidactes, il y a très vite des mauvaises habitudes prises, s'ils n'approfondissent pas plus le sujet en potassant des bouquins ou autres théorie musicale.

Oui tout à fait. Un bon prof apprend surement des bonnes habitudes indispensables pour progresser et les mauvaises habitudes sont un frein à la progression, un ralentissement.

De plus, un bon prof t'apprends des trucs et astuces j'imagine qu'un autodidacte mettra des années à découvrir alors qu'un prof te les aurait donné direct, enfin oui je suis d'accord que un prof est (enfin doit surement être, j'ai jamais eu de prof donc je sais pas mais j'imagine oui) un vrai plus pour qui veut apprendre et bien apprendre.

Mais c'est très bien aussi que les gens qui n'ont pas les moyens de payer 1 heure de cours à 20/30 euros par semaine (voir plusieurs fois par semaine) puisse apprendre à se faire plaisir avec un instrument et y prendre vraiment du plaisir à jouer malgré tout

Bon, malgré tout, c'est incroyable le nombre de fabuleux musiciens qui ont de mauvaises habitudes! ça n'a pas l'air de les gêner pour être extraordinaires! depuis Jim Mullen qui joue avec son pouce, (c'est un très bon jazz man) Clapton qui fait des arpèges à deux doigts et Hendrix qui barrait avec le pouce quand ça l'arrangeait...En fait le travail, plus la curiosité permet à ces musiques de se renouveler alors que , par exemple, la rigueur des apprentissages classiques bloque souvent les musiciens: impossibilité d'improviser, incapacité de composer, idées reçues inamovibles etc. Et même si il en existe qui ne sont pas comme ça, il suffit d'en fréquenter beaucoup pour voir à quel point c'est répandu.

je précise que depuis que je joue de l'acoustique je n'ai toujours pas trouvé la position je joue "un peu" comme Clapton la paume sur le chevalet, je navigue un peu en fonction de ce que je joue. L'idéal serait de décoller le poignet, mais là je perd la précision Pas de prof = mauvaises appréhension de l'instrument, après, on fait avec

Pauvre Clapton! j'espère qu'il va réussir à jouer de la guitare!